Un interview du président de la fondation dans la revue « Forbes ». Lien ici
C’est un peu un bilan des deux premières années d’exercice de la Fondation en quelques phrases. Vous y trouverez :
- un rappel des objectifs de la Fondation,
- une liste des projets en cours et des orientations de la Fondation,
- mais aussi un appel à soutenir son développement :
- Par des dons directs et aussi tout ce qui peut les faciliter : contacts avec des donateurs individuels et des mécènes potentiels, diffusion de l’objet de la fondation dans vos réseaux professionnels et amicaux.
- Par l’offre de bénévolat au service de la fondation, ponctuel ou plus soutenu selon les envies et possibilités de chacun
- par la promotion de l’idée de mécénat de compétence :
Un extrait adapté de l’article est reproduit ci-dessous pour expliquer cette notion.
Je peux imaginer deux situations contrastées pour lesquelles une entreprise ou une institution pourrait bénéficier de proposer à certains de ses collaborateurs de « faire une pause » active dans le contexte que nous développons, en y gagnant un regard autre sur la connaissance scientifique, qui en retour pourrait bénéficier à l’institution .
- une quasi-formation à l’écosystème de la connaissance scientifique, un temps plus long d’acquisition de ce regard qui ne peut se faire « en passant » avec quelques séminaires ou réunions casées « de force » dans un emploi du temps chargé et dans un écosystème professionnel inchangé.
- L’autre situation, pas si rare, est celle des temps dans une carrière professionnelle où le travail, l’engagement, connaissent des passages à vide. Plutôt que de créer de la souffrance au travail en maintenant à tout prix une « fausse activité », un « placard peu engageant » parfois, ne vaudrait-il pas mieux proposer un vrai engagement extérieur à l’institution tout en ne prenant pas des décisions définitives ?